Printemps 2017
Neruda
 
Film chilien, argentin, français, espagnol de Pablo Larraín - 1h 48 - avec Luis Gnecco, Gael García Bernal, Mercedes Morán 
 
Hors des sentiers du biopic classique, le futur Nobel Pablo Neruda devient le héros d'une formidable course-poursuite dans le Chili de la dictature. (Le Point) 
 
Un poème visuel qui prend sa source dans la puissance artistique et politique de Pablo Neruda. (L'Humanité) 
 
Quand le plus grand cinéaste chilien de tous les temps rencontre le plus grand poète chilien de tous les temps, qu'est-ce que cela donne ? Un film étrange et magnifique. [Portrait de l'auteur du Canto General, chef-d’œuvre de la poésie universelle] (Le Monde) 
 
L'auteur de No signe un anti-biopic engagé, épique et visuellement éblouissant. (Télérama) 
 
Une œuvre à la fois charmeuse et enthousiasmante. (Culturopoing) 
 
 
Mercredi 8, vendredi 10, dimanche 12, mardi 14 à 20 h 30
 
 
Mémoires du sous-développement
 
Film cubain de Tomas Gutierrez Alea – 1h 37 - avec Sergio Corrieri, Omar Valdés, Rene de la Cruz (1968) 
 
D'une réelle originalité de style, Mémoires du sous-développement est le chef d'œuvre du cinéma cubain et le film le plus célèbre de Tomas Guttierez Alea. (àVoiràLire) 
 
Présenté à Cannes en mai dernier, restauré par le World Film Project de Martin Scorsese et George Lucas, le film apparait aujourd'hui dans sa beauté originelle. (Le Monde) 
 
Derrière un titre trompeur, qui pourrait être celui d'un documentaire à vocation sociologique, se cache un des longs métrages de fiction les plus célèbres du cinéma latino-américain. L'errance existentielle et amoureuse de Sergio, un intellectuel hédoniste et velléitaire, dans les rues de La Havane, est le prétexte à une réflexion sur le devenir d'une société qui s'est fixée un programme ambitieux, la révolution rien de moins. Un chef d'œuvre au décor solaire et indolent. (Critikat) 
 
Comédie de lucidité et de l'enthousiasme, tragédie de la fatigue et de l'action, ce splendide film cubain des années 60 nous abandonne à une liberté indécidable. (Les Inrocks) 
 
Jeudi 9 à 20 h 30 - dimanche 12 à 17 h 30
Un monstre à mille têtes
 
Film mexicain de Rodrigo Plá - 1h 15 - avec Jana Raluy, Sebastian Aguirre Boëda, Hugo Albores 
 
Evoquant moins le film fantastique de dragons qu'un trombinoscope professionnel, le titre annonce la critique méthodique d'une multinationale. Cette course folle jusqu'au sommet de la pyramide se déroule dans un suspense haletant, ramassé dans l'unité de temps d'une journée de travail. (Positif) 
 
Repéré pour La Zona, propriété privée, Rodrigo Pla mélange adroitement le thriller et le commentaire social, gagnant sur les deux tableaux. (Les Inrocks) 
 
Un parti pris esthétique très fort, un sujet universel, une rage qui fait mouche, une touche d'humour noir... toute l'affaire est enlevée en une heure et quatorze minutes, mais bien frappées, qui en donnent pour son argent. (Le Monde) 
 
Une expérience cinématographique et sociale hors du commun. (Médiapart) 
 
Samedi 11 à 17h et lundi 13 à 20h30
Citoyen d'honneur
 
Film argentin de Mariano Cohn, Gastón Duprat - 1h 57 - avec Oscar Martinez, Dady Brieva, Andrea Frigerio – Sortie nationale 
 
Les réalisateurs argentins de L'Homme d'à côté nous ont concocté une nouvelle comédie, au cynisme réjouissant. Un régal de drôlerie et de finesse d'écriture. (Abus de Ciné) 
 
Inclassable ! Une allusion ironique au fait que le vénérable jury du Nobel a toujours ignoré cet immense auteur qu'était José Luis Borgès. C'est avec un plaisir sans partage qu'on se laisse embarquer dans cet univers déboussolant. (La Gazette d'Utopia) 
 
Une féroce satire sociale. Un réjouissant jeu de massacre qui ressemble par moments aux meilleurs films de Carlos Saura. (Angle(s) de vue-Venise 2016-) 
 
On l’a tous apprécié pour la peinture de la société, pour le personnage de l’écrivain, pour les situations, pour la montée des périls… A voir sans hésiter. (Huit et Demi) 
 
Samedi 11 à 20h30
Samedi 11 février entre les deux films 
Présentation des films par Benjamin Cocquenet 
 
 
Buffet (5 €,) inscription avant le 9 février minuit